« Je peux aussi bien travailler avec un producteur pour un même produit que 100. C’est notamment le cas des légumes… » raconte Daniel Baratier. Et pour cause, respecter le vivant, l’environnement, c’est aussi accepter les réalités du monde paysan. Que ce soit la particularité du terroir, la météo ou les petits volumes, inhérents aux petites exploitations, Daniel Baratier travaillent avec ces réalités au quotidien, quitte à devoir appeler 100 maraîchers, pour avoir la quantité souhaitée. Du vivant, pas d’intrant, pas de chimie, pas d’industrie… Et que du direct producteur, local ou national. C’est cette logique vertueuse et respectueuse de l’environnement et des Hommes, qui anime Daniel Baratier depuis plus de quinze ans. Un engagement qu’il poursuit avec son restaurant, l’Auberge sur-les-Bois ouvert fin 2018. »